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lundi 26 novembre 2012

Mardi 13 septembre, visite aux patients de la clinique et préparation pour donations à la clinique des handicapés Fundabiem et à l'hôpital public de Solola


Plusieurs enfants ont la paralysie cérébrale. Les mamans attendent leur tour pour le rendez-vous. Elles sont de Santa Lucia, une heure et demi pour venir et autant pour retourner. Elles sont très courageuses. Tous les enfants de ce matin reçoivent des soins grâce au fond SuDen, nom que les gens de la clinique ont choisi.

Je rencontre une nouvelle patiente que nous parrainons. Il y a des enfants qui n'ont jamais vu d'étrangers....je vais doucement.
Une maman courageuse, son fils adoptif Esdras a la paralysie cérébrale. Cela fait 3 ans qu'il bénéficie des soins de la clinique. J'admire le courage de cette maman qui ne rate jamais un rendez-vous hebdomadaire.
Ma petite amie Rosita, trisomique. Sa maman est toujours au rendez-vous hebdomadaire. Quand nous avons commencé à aider  elle ne marchait pas. Après 3 ans, elle marche, court, parle, que c'est beau de la voir.
Cet après-midi, nous préparons la donation des articles médicaux pour l'hôpital public de Sololà et l'autre moitié pour la clinique Fundabien.
Les couches, toujours un grand besoin.



Une amie de Louiselle lui a donné des caleçons qui viennent d'un centre de personnes agées,  au Guatemala tout peut servir.

Des centaines de serviettes sanitaires et pads de protection, donations de pharmacies et St-Vincent-de-Paul au Québec.

Appareils orthopédiques, un trésor pour les gens d'ici qui ne peuvent en acheter.



Des seringues, aiguilles venant d'une dame de Longueuil......merci

Colombe et Louiselle séparent le matériel pour les 2 endroits.

Juan Carlos me visite pour me remercier pour la bourse d'études pour ses 3 dernières années. Il a gradué le 28 octobre, il a commencé la recherche d'emploi. Il remercie tous les Québécois qui participent à notre fond d'études. Jamais , il n'aurait pu étudier, à présent il pourra aider son frère et ses deux soeurs. Il me donne une papaye en cadeau. Même dans la pauvreté, les gens veulent redonner, je les admire et je suis très fière DES MES PETITS COMME JE DIS ICI.

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